Ce script Powershell récupère la liste des mailbox présentes pour les utilisateurs membres de l’OU spécifiée et ajoute comme adresse mail principale une adresse au format prenom.nom@domaine.tld.
Ce script permet donc d’uniformiser les adresses mail en gérant les divers caractères spéciaux et accents, tout en conservant les anciennes adresses qui peuvent servir comme alias, évitant d’avoir à communiquer par rapport à sa nouvelle adresse.
J’ai développé un script Powershell utilisant WMI pour adresser à tous les ordinateurs d’une sélection d’OU ActiveDirectory une requête pour connaître l’état de leurs disques. Le but de ce script est de pouvoir générer des rapports d’état (au format CSV ou XML) pour prévoir l’occupation de certaines plateformes et tracer une évolution, afin de pouvoir agir en conséquence (libération d’espace disque, augmentation du disque…)
Bien que la requête soit identique pour les deux scripts, le traitement pour un export CSV est différent de celui qui génère un fichier XML.
Le script permettant de réaliser le rapport en CSV :
Le format CSV peut ensuite être ouvert et exploité dans Excel. Afin de convertir les valeurs exprimées en octet en Mo ou en Go par exemple, il suffira de réaliser un collage spécial sur les colonnes pour faire une division par le nombre correspondant (1073741824 par exemple pour un affichage en Go).
Le script permettant de réaliser un rapport au format XML :
Ayant récemment réinstallé ma station de travail sous Fedora 30, j’ai été confronté à quelques petits écueils comme celui-ci. De base, j’étais incapable d’ouvrir l’accès console d’un serveur physique HP depuis l’interface d’administration ILO4 (dans ce cas précis, mais le dysfonctionnement aurait été identique sur ILO2 ou ILO3) en Java Web Start.
En effet, le fichier .jnlp n’avait aucune application compatible pour son exécution. J’ai tenté d’installer openjdk qui est dans les dépôts Fedora mais sans succès, l’application icedtea-web devant exécuter le Java Web Start me remontant un nombre incalculables d’erreurs Java. J’ai dû me résoudre à installer la version Oracle de Java pour que cela fonctionne sous Firefox.
Une fois l’archive récupérée, dans ce cas précis, la version 8 update 221, l’extraire :
tar xvf jre-8u221-linux-x64.tar.gz
mv jre1.8.0_221/ /opt/
J’ai donc tenté ensuite d’exécuter le fichier jnlp, sans succès :
/opt/jre1.8.0_221/bin/javaws iLO-jirc.jnlp
/opt/jre1.8.0_221/bin/javaws: error while loading shared libraries: libnsl.so.1: cannot open shared object file: No such file or directory
J’ai dû installer la librairie libnsl, par chance, elle est présente dans les dépôts de Fedora :
dnf install libnsl
Et enfin, j’ai pu relancer ma commande javaws avec succès !
Pour conclure, j’ai lié le type de fichiers .jnlp à l’exécutable javaws ainsi je n’ai pas à appeler systématiquement javaws depuis le terminal. ILO5 et – il me semble – les dernières versions d’iDRAC permettent d’utiliser une console basée sur HTML5, cela posera moins de problèmes à l’avenir pour une compatibilité multi-environnements.
Je vais aborder dans cet article les possibilités qu’offre Powershell sur les fichiers XML. Récemment, j’ai développé un script réalisant un audit de l’ActiveDirectory au format HTML (que je partagerai éventuellement plus tard) et qui exporte certaines données dans un fichier XML, afin qu’elles puissent être exploitées plus facilement, par exemple pour avoir un historique et tracer des courbes d’évolution.
Nous allons donc utiliser les diverses méthodes de la classe Xml de .NET pour créer les différentes entrées, la hiérarchie et les attributs de ce que nous souhaitons stocker. Le script présenté dans cet article va récupérer les membres d’un groupe ActiveDirectory ainsi que des informations concernant ces membres, afin de tout stocker dans un fichier XML. Voici à quoi va ressembler mon fichier à la fin de l’exécution du code :
Tout d’abord, la déclaration de l’objet et l’écriture de la déclaration XML, qui est nécessaire pour que Powershell puisse gérer le fichier. Afin d’éviter d’écrire dans la console, j’ai besoin de piper out-null à chaque appel de AppendChild.
C’est ensuite dans une boucle ForEach que tout le traitement va avoir lieu. En effet, il va être nécessaire de jouer pour chaque utilisateur la création des éléments DisplayName, Mail et TelephoneNumber.
$UserNode désigne un utilisateur. Au niveau XML, il s’agit donc de <user>, qui contient <DisplayName>, <Mail> et <TelephoneNumber>.
Afin de pouvoir afficher le nom de l’utilisateur dans la balise XML <user> de manière à ce qu’il soit écrit <user Name= »mscott »>, il faut utiliser SetAttribute. Il est possible d’ajouter plusieurs attributs.
$Element désigne ce que l’on va ajouter à la balise parente. Il s’agit donc ici de <DisplayName>, <Mail> et <TelephoneNumber>. Ces éléments n’ont pas d’enfants, à l’inverse de <user>. On considère que <user> est un nœud (ou node) et <DisplayName> un élément. La fonction InnerText permet de spécifier la valeur : ici il s’agira du DisplayName, de l’adresse mail et du numéro de téléphone, que l’on récupère grâce à la variable temporaire $_ de la boucle ForEach.
Pour finir, on rattache l’élément créé au nœud parent correspondant, dans notre cas $UserNode. Lorsque l’élément a été rattaché, on obtient donc un nœud <User> complet. De la même manière, on le rattache au nœud racine du fichier XML, dans notre cas $xmlroot, qui s’appelle <users>.
En reprenant la capture d’écran plus haut, voici comment est découpé le fichier XML. En rouge le nœud racine $xmlroot ; en vert les noeuds $UserNode ; en orange les éléments $Element qui dépendent donc de $UserNode, lui-même dépendant de $xmlroot, dépendant finalement de $xmlfile.
Une fois que tous les nodes ont bien été traités, il faut préparer le fichier final. XML étant un format hiérarchique, $xmlroot n’est ni plus ni moins qu’un nœud de l’objet XML que nous avons déclaré en début de script, $xmlfile.
$xmlfile.AppendChild($xmlroot) | out-null
Pour conclure, l’écriture du fichier sur le disque :
$xmlfile.Save("sales-dundermifflin.xml")
Importons ce fichier XML dans Powershell :
[xml]$sales = Get-Content sales-dundermifflin.xml
Ensuite, appeler $sales n’aura aucun intérêt. Par contre, en utilisant les noms des nœuds et des éléments, on peut donc afficher et manipuler les informations comme on le souhaite :
Et pour reprendre le même code couleur que précédemment :
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